“The Cyclists” by Jeff Nichols: l’équipée decevante (ou la perte de l’inocence)

If you want to know what happened between Wild equipment and etc. Sons of AnarchyJeff Nichols’ new film Cyclists will answer your questions. Malheureusement, this historical justice is not really a great film for the autant.

“The Cyclists” by Jeff Nichols: l’équipée decevante (ou la perte de l’inocence)
Austin Butler, Jodie Comer – Copyright 2023 Focus Features, LLC. All rights reserved.

Hello, answer! Cela faisait huit ans que l’on n’avait plus vraiment de nouvelles de Jeff Nichols, l’un des implementers les plus only, et par là-même les plus plus Attachants du cinéma US. Announcement of the return of his son with him Cyclistson a very exciting topic (motorcycle gangs in the USA) and with tomber casting (Tom Hardy, Austin Butler, Jodie Comer, Michael Shannon !), this is the rare new good news of this year 2024, the weakest cat du cinema Outre-Atlantique. Malheureusement, trop d’attente vis à vis d’un Film et d’un Réalisateur est quasi-systematic synonym of deception, etc. CyclistsWell, as for the positive reviews from the “official” critics, this is loin d’etre le grand movie espéré. On explanation…

Poster Cyclists this is normal adaptation Jeff Nichols lui-même d’un livre-reportage réalisé dans les années 60-70 sur un “club de moto” (“motor club”, disons plutôt, car ça sonne quand même bien mieux en anglais, not?), qui décrit la trajectoire From of this club and from its fans, after the passion of the petite dizaine of the spear motards, who organize to occupy the time free from leurs vies ennuyeuses, jusqu’à devenir un gang of arms and drug dealers, voire d’ murderers in the national school. Ooh, if he’s talking about “movies”, then that was in the past team of savages who reveals it Brando – charming voyou dont l’Amérique tomba Instantanement amoureuse – et Sons of Anarchy, and these heroes are tortured and surpassed? The answer is simple: perte de l’inocence, both in reality and in cinema.

In a number of critical articles that talk about the film “Scorsezion”, it seems that à la manière des Affranchis – souvent cité -, on parle ici de bands d’hommes vivant en dehors de la société (“hors la loi”, si l’on veut) mais ayant Recréés leurs propres règles, de plus en plus contraignantes, absurdities and violence, jusqu ‘à se perdre moral et émotionnellement (this idea phare de s’imposer des regles alors que l’on voulait au départ être libre est d’ailleurs l’un des Points les plus Intelligent du script). Comparison with ScorseseBased on some aspects of the film’s construction (voice acting, rock in BO, etc.) we have absolute counter-sense: Nichols est un cinéma de l’indolence, du flou, de l’indécision, mais également de l’absence de foi, bien loin de la Furie et du Cycle Destruction – self-destruction Scorsese, without talking about his religious obsessions. I held him Cyclists est l’ennui, la clumsiness and deception, et c’est ce décalage entre une histoire qu’on visit pleine de “brit et de fueur”, et qui se révèle molle et incertaine, qui fait à la fois l’intérêt du film and its limits. The car, my francs, are like pathetic characters on screen, due to boredom and uncertainty due to a film that makes no promises.

Car le “machisme” romantique au cœur des motorcycle gangs est clairement quelque Choose qui n’intéresse pas Jeff Nichols (le contraire aurait été étonnant): il suffit de voir la contre- Performance que livre ici Tom Hardyà la limite du grotesque dans une interpréte forcée, a caricatured, ongoing illness of an actor who does not understand what he demands from the just. Ou, à l’opposié, but c’est la même chose, le non-jeu absolu d’Austin Butlerveritable dieu vivant à l’écran, which cannot be fair for the new generation James Deanmodern Marlon Brando : Butler This is an icon, and then there is an actor: the video is the character Benny, consisting of all human essence, essentially a cinematic symbol. C’était d’ailleurs without any idea Nicholsby design, but it doesn’t matter that the “concept” de désincarner encore plus Cyclistsd’en faire un faire un déséspérément vide.

Back, Nichols se révèle clairement ici un cinéaste de “femmes” – il faudrait revoir sa Filmographie sous Cet Angour pour Confirmer of this hypothesis: la meilleure idee du Film est de leconstrure sur le view (amoureux, mais lucide) d’une femme sur ce monde – ridicule , conventions are people, petty machos who disperse mechanics to cache those who are desperate to find their place in society. Jodie Comerune fois passées des scènes d’introduction or elle en fait un peu trop, est prodigieuse: elle est le cœur battant d’un movie qui, sans elle, en serait dépourvu.

Car le piege dans lequel Nichols This is the grave, this is the love of the project, the mad ambition, the film of the inevitable deception in life, and I do not avoid what is the film, so this man died.

Eric DeBarneau

Cyclists
The film “USA” by Jeff Nichols
Cast: Jodie Comer, Austin Butler, Tom Hardy, Michael Shannon, Boyd Holbrook, Norman Reedus…
Genre: drama
Duret: 1 hour 56 minutes.
Date of foray into the halls: June 19, 2024

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